iPod

Les téléphones mobiles ultra sophistiqués (smartphones) deviennent omniprésents dans le quotidien de nombreuses personnes, de part leur simple portabilité et la multiplicité des usages disponibles en permanence condensés en un seul objet : walkman pour la musique, téléviseur et lecteur de vidéos et de film, appareil photo et caméra, liseuses (informations, magazines, livres), consoles de jeux, prise de notes, assistants personnels, GPS, applications, accès internet, téléphone et SMS, il nous donnent la possibilité d'être connectés en permanence et (presque partout) avec le contenu d'internet et nos contacts, par une multitude de moyens et médias instantanés ou différés. Beaucoup d'utilisateurs consultent très souvent leur téléphone et passent beaucoup de temps sur celui-ci, peut être même trop. Certaines fonctions et accessoires permettent de gagner du temps, du confort, et réduire l'esclavage d'être rivé à l'écran et clavier du smartphone : la commande et synthèse vocale (SIRI sur iPhone), les smartwatch (la montre Pebble...

Alors que les devices et leurs usages deviennent omniprésents et multiformes dans le grand public et les entreprises : tablettes, consoles… boostés par le développement d'internet, des médias sociaux, du cloud computing, et par la mobilité et la sophistication des smartphones, le numérique est désormais partout. Avec la numérisation et la digitalisation du monde, on ne peut plus se réduire au "screen-based thinking", la conception basée sur l'écran. Plus généralement le design d'interface utilisateur est désormais réducteur. Maintenant il faut penser global, eXpérience Utilisateur globale, quand les points de contact avec le produit, les marques, les processus et les personnes se multiplient : il faut concevoir les interactions (Interaction Design). Dans ce billet, seront évoquées l’évolution des interfaces utilisateur, et la tendance à remettre en question leur existence même : "La meilleure interface, c'est : pas d'interface ». J’évoquerai des réflexions sur l'automatisation et la robotisation, la remise en question de la...

La star aujourd'hui, c'est mon bon vieux compagnon Sony VAIO VGN S4-XP/B, qui a bien traversé les années.J'ai décidé de supprimer complètement Windows XP de celui-ci et d'installer exclusivement et définitivement le système d'exploitation Linux Ubuntu. La dernière version, la 10.04, le "Lynx Lucide" est sortie jeudi dernier.Avant l'installation d'Ubuntu, j'ai rajouté 1 Go de mémoire vive, moyennant la somme de 40 €, arrivant ainsi à 2 Go (le maximum possible sur cette machine).Passé les problématiques incontournables des compatibilités techniques et des performances de la machine, quand on décide de changer de système d'exploitation, la première question à se poser, à mon sens, n'est pas de savoir si on est prêt pour changer d'interface utilisateur et d'habitudes, mais plutôt de se demander si l'on va pouvoir conserver au minimum ses usages et sa productivité. En conséquence, les deux seules vraies questions à se poser sont : Est-ce que les échanges et...